Conséquence fructueuse inattendue de la considération d'un objet d'art ultra marin, l'élaboration de remarques pertinentes préalables à la formalisation de relations physiques et mathématiques, au principe même du rituel présent avec un bouquet de fleurs fraîchement coupées dans un vase.

L'étrangeté de la situation perpendiculaire de cette gorgone, pendant que tout baigne, fait découvrir au grand jour une relation topologique fonctionnelle constante inverse entre les fleurs coupées et leur vase : une relation ordonnée par la gravitation entre la plus grande surface pour le plus petit volume, ouvert sur sa section, évaporant l'eau contenue dans le plus grand volume pour la plus petite surface, ouvert par son orifice...

Plus précisément, tous les bouquets de fleurs fraîches dans un vase peuvent se définir comme éléments de l'ensemble des propositions esthétiques multimédia de klepsydre visuelle et olfactive, et mue suivant l'air du temps des amours évaporé, par la répartition physique et biologique de l'eau dans la relation de la plus grande surface pour le plus petit volume, à la plus petite surface pour le plus grand volume.