(fin de la note débutée sous l'image précédente)
La dernière résurgence de l'illusion sur le Frioul est-elle de tenter des rassemblements culturels très dans le vent, dans cet hôpital, qui peuvent rester gravés dans la mémoire, comme d'antiques tragédies ?
Ou d'y voir l'Infirmerie s'occuper du nombre et de la santé des poissons de la calanque, dans une mer dont le pronostic soulève maintenant des signes d'inquiétude ?
Ou de le transformer cette fois en musée des fragments égarés, bigarrés et épars de cette histoire, ou de cette succession d'utopies historiques, patiemment remontés du port ou des environs de la Quarantaine ?
Et encore à travers ces taches d'utilité collective, d'entretenir ou de rebâtir ce château des courants d'air si proche de sentir l'inspiration de Claude-Nicolas Ledoux, de Dino Buzzati ou de Franz Kafka, à moins qu'avec l'épidémie de pneumopathie atypique qui se répand, encore une fois ...